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Bon retour dans le Brave GNU World. Tout d'abord je voudrais présenter mes excuses à tous ceux d'entre vous qui furent déçus de ne pas trouver le Brave GNU World à l'endroit habituel sur le web ou dans les magazines. Juste avant de devoir écrire l'article, je me suis cassé la clavicule. Cela m'a mis dans l'incapacité de le faire.
Après cette pause extrêmement involontaire, les choses devraient rentrer dans l'ordre avec un bon mélange de différents sujets.
Encore en test beta, mais déjà utilisable, voici Gnuzza (CryptChat) de Timo Schulz. Le projet commença lorsqu'un de ses amis lui demanda un programme de "chat" sécurisé qui fonctionnerait sur GNU/Linux et Windows. Timo commença alors à en écrire un et, en juillet 2001, la version 0.0.3 de Gnuzza était publiée sous forme de Logiciel Libre sous Licence Publique Générale (GPL) de GNU.
Gnuzza est un programme de chat "peer to peer" (p2p) avec une cryptographie forte, il permet donc à deux personnes de discuter par claviers interposés tout en préservant leur vie privée. Ils peuvent aussi s'envoyer des fichiers à travers le canal crypté.
Basé sur la bibliothèque de cryptographie GNU libgcrypt [6], Gnuzza supporte l'échange de clés de Diffie Hellman (de 1024 à 4096 bits) ainsi que l'algorithme symétrique 3DES, BlowFish, Twofish, CAST5 et Rijndael. Par défaut cependant, Gnuzza utilise le cryptage asymétrique, car cela rend les mots de passe habituellement connus inutiles. Dans ce cas, l'authentification des utilisateurs se fait facilement par des clés compatibles OpenPGP.
Gnuzza a été écrit en C ANSI avec une interface utilisateur sous ncurses, ce qui le rend rapide et consomme peu de ressources. Il fonctionne sur GNU/Linux, où les bibliothèques requises sont installées en standard dans la plupart des distributions, et sur Windows, pour lequel la dépendance en DLLs a été réduite.
Grâce à ncurses, le programme a une interface utilisateur textuelle, mais certains utilisateurs préféreront sans doute une interface véritablement graphique. Pour ceux-là, Timo envisage une interface GTK+/GNOME/KDE - mais parce qu'il n'a aucune expérience dans GTK+, il est à la recherche de volontaires pour s'occuper de cette partie du projet.
En plus de cela, son intérêt se concentre sur la traçabilité et l'élimination des bogues. Si vous vous demandez maintenant si vous devez l'essayer, il faut mentionner que grâce aux réglages par défaut, la connaissance de la cryptographie n'est requise que pour les fonctionnalités avancées. Donc si une version beta ne vous effraie pas, vous utiliserez Gnuzza sans difficulté.
Un mot d'avertissement cependant pour ceux qui ont l'intention de l'utiliser sous Windows : n'ayez pas trop confiance dans la sécurité de l'application, car toute chaîne est aussi forte que le plus faible de ses maillons. Il se pourrait ainsi que les données transmises en sécurité au client Gnuzza sous Windows soient communiquées à un tiers par le système d'exploitation lui-même.
Disons que, pour l'exprimer pleinement : construire des portes blindées pour des maisons en château de cartes est d'une efficacité limitée.
Parmi les applications qui sont en général utiles à la plupart des utilisateurs se trouvent certainement les vérificateurs automatiques d'orthographe. GNU Aspell [7] est un tel programme et il fait partie du Projet GNU depuis août 2002.
Jusqu'à ce que le projet Aspell démarre, il n'y avait qu'un seul vérificateur d'orthographe logiciel libre : Ispell international [8]. Naturellement, Ispell se trouva vite largement répandu sur la plupart des machines Unix et était aussi le correcteur orthographique standard pour le système GNU. Malheureusement, l'intelligence des suggestions faites par Ispell était notablement inférieure à celles des vérificateurs d'orthographe propriétaires.
Pour cette raison et d'après l'"Algorithme Metaphone de Lawrence Philips", qui permet d'estimer la prononciation anglaise d'un mot écrit, Kevin Atkinson commença à travailler sur Aspell en 1998. La première version fut délivrée en septembre 1998 sous le nom de Kspell, mais depuis que le projet de correcteur orthographique de KDE s'appelle aussi Kspell, il le renomma en Aspell.
Dans les années suivantes, Kevin consacra une grande partie de son temps au développement plutôt intensif de Aspell. Il essaya des concepts, les remania et parfois les rejeta. Il chercha par exemple à créer une interface générique, appelée Pspell, pour tous les vérificateurs d'orthographe présents sur le système. Malheureusement, cela compliqua plus que cela ne simplifia la vie de tous les participants. C'est pourquoi Pspell est noyé dans Aspell depuis la version 0.5.
Une autre chose pour laquelle il fit beaucoup d'effort est la génération de meilleures listes de mots, basées sur celles fournies avec Ispell. Il sépara très précautionneusement les listes anglaises en orthographes britannique, américaine et canadienne. Les résultats de ce travail ont aussi été publiés séparément [9].
Après la version de GNU Aspell 0.5 d'août 2002, Aspell cherche maintenant à remplacer Ispell particulièrement pour les distributions GNU/Linux. D'après ses relevés plutôt impressionnants, il semble que cela soit seulement une question de temps.
GNU Aspell n'est pas utilisable seulement comme programme direct de vérification d'orthographe avec une belle interface utilisateur sous ncurses, il peut aussi être lié à d'autres programmes en tant que bibliothèque. Et les suggestions faites par GNU Aspell sont bien meilleures que celles d'Ispell ou de Netscape 4.0 ou de Microsoft Word 97. Pour quantifier cela, Kevin a développé un environnement de test qui est disponible, avec les résultats qu'il a obtenu, sur la page web de GNU Aspell [7].
Il apparaît cependant que ces tests n'ont été effectués que pour la langue anglaise, bien que des listes de mots existent pour d'autres langues. Pour celles-ci, il serait certainement utile de trouver des personnes les parlant naturellement et qui seraient volontaires pour effectuer des tests similaires. Mais même si vous n'êtes qu'un simple utilisateur vous pouvez améliorer les performances de GNU Aspell, car il apprend des erreurs que vous commettez.
Qu'il soit utilisé comme programme indépendant ou lié en tant que bibliothèque, GNU Aspell a conscience des processus multiples. Les dictionnaires personnels d'un utilisateur sont disponibles à tous les processus Aspell de cet utilisateur et les modifications sont automatiquement propagées entre les processus GNU Aspell. De plus, chaque utilisateur peut aussi avoir plusieurs dictionnaires personnels.
Afin de garder une consommation mémoire acceptable avec toutes ces capacités étendues, tous les GNU Aspell tournant sur un système partagent les dictionnaires généraux et communs. Le prix que paye tout de même GNU Aspell pour ses fonctionnalités étendues est une utilisation mémoire supérieure à Ispell.
Cela peut aussi être la conséquence du fait que Ispell supporte la "Compression Affixe" - comme on l'appelle - au contraire du GNU Aspell actuel. La compression affixe fonctionne sur le principe que beaucoup de mots ont une même racine combinée avec différents affixes. Donc le mot final est construit sur une racine avec un infixe, un préfixe ou un suffixe.
Les listes de mots avec compression affixe contiennent la racine et ses affixes possibles. Les mots anglais "alarm alarms alarmed alarming" peuvent par exemple être compressés en "alarm/SDG". Cela peut vite faire la différence tout particulièrement pour les langues ayant beaucoup d'affixes (comme l'allemand, par exemple).
Bien que GNU Aspell soit orienté vers les environnements multi-processus, les développeurs doivent noter qu'il ne faut pas encore le considérer comme "Thread Safe". Achever cela est actuellement placé en tête de la liste des priorités.
Les autres points sont : travailler le manuel, adapter le code aux standards GNU, compléter le support d'UTF-8, supporter le chargement dynamique des filtres et écrire une interface C++. Il reste aussi à adapter le module EMACS ispell.el.
Et finalement Kevin Atkinson prévoit d'importer le code de compression affixe écrit par Kevin Hendricks pour le composant de langue d'OpenOffice dans GNU Aspell.
Mais même s'il y a encore pas mal de travail à faire avec GNU Aspell, cela ne doit décourager personne de l'utiliser dès à présent, car depuis la version 0.50.2, GNU Aspell est tout à fait au même niveau que les autres vérificateurs d'orthographe actuellement disponibles. Même si Kevin ne pense pas qu'il doive passer à la version 1.0, ce qui est assez significatif pour les développeurs de Logiciels Libres.
Il faut remarquer que Kevin Atkinson a essentiellement fait lui-même tout le travail sur GNU Aspell. Néanmoins, il apprécierait certainement de l'aide et si vous recherchez un projet intéressant qui sera longtemps utilisé par de nombreuses personnes, afin que votre nom passe à la postérité, voilà certainement une bonne opportunité.
Les lecteurs avertis du Brave GNU World auront remarqué que je n'ai pas parlé jusqu'à maintenant de la licence de GNU Aspell, même s'il est clair que GNU Aspell est un Logiciel Libre puisqu'il fait partie du Projet GNU.
À l'origine, GNU Aspell a été publié par Kevin Atkinson lui-même sous la Licence Publique Générale Amoindrie de GNU (LGPL). Afin d'assurer la faculté légale de maintenance et ainsi la survie à long terme de son projet, Kevin donna ses droits à la Fondation pour les Logiciels Libres d'Amérique du Nord, qui devint le dépositaire de ses intérêts.
Bien que la FSF d'Amérique du Nord considère qu'il serait plus utile de publier GNU Aspell sous la Licence Publique Générale de GNU (GPL), ce dernier reste publié sous la Licence Publique Générale Amoindrie de GNU car Kevin estime cela très important pour lui.
Il y a beaucoup de réflexions non seulement intéressantes, mais aussi importantes derrière ces différentes positions, c'est pourquoi je voudrais essayer de les éclairer.
Kevin Atkinson veut que GNU Aspell devienne le vérificateur d'orthographe de fait pour GNU/Linux et les autres systèmes d'exploitation Libres. Il voudrait tout particulièrement voir une adaptation de GNU Aspell dans des projets comme OpenOffice et Mozilla.
Puisqu'il y a aussi des versions dérivées propriétaires de OpenOffice et Mozilla, il craint que les projets n'utiliseront pas du tout GNU Aspell s'il est sous la licence GNU GPL.
Bien sûr, les dérivés propriétaires pourraient utiliser GNU Aspell à travers une exécution de programme externe. Cela devrait être moins efficace, mais c'est une alternative possible.
La position de Kevin est ainsi largement ancrée sur son souhait de voir GNU Aspell se répandre le plus possible et sur la crainte que la mise de GNU Aspell sous Licence Publique Générale de GNU créerait trop de problèmes aux projets ayant des dérivés propriétaires.
Il serait sans aucun doute très bien que GNU Aspell soit largement adopté par beaucoup d'utilisateurs car il apporterait à ceux-ci la liberté pour leur vérification d'orthographe. Mais il y a aussi un autre aspect au problème.
L'un des concepts fondamentaux sur lesquels la Licence Publique Générale de GNU est construite est qu'il y aura toujours des gens qui voudront en profiter même aux dépens des autres. Et vous ne pouvez pas vous fier à la bonté de coeur des seuls entreprises et dirigeants.
Ou plus simplement : ceux qui ne défendent pas leur liberté sont voués à la perdre !
La Licence Générale Amoindrie de GNU (LGPL) est une modification de la GPL, limitant sciemment la protection de la liberté sur un aspect significatif : elle permet de lier le code à des applications propriétaires.
Dans le passé, cela a souvent été utile ou même nécessaire et les composants principaux comme la bibliothèque C de GNU ont été publiés sous la LGPL.
Les Logiciels Libres offrent un nouveau paradigme pour le logiciel avec beaucoup d'avantages. Les profits rapides et "déloyaux" convoités par certaines entreprises n'en font pas partie ; la récompense et les avantages des Logiciels Libres se trouvent plutôt dans le moyen ou long terme.
En dépensant de grandes quantités d'argent, les logiciels propriétaires peuvent parfois créer des problèmes aux Logiciels Libres à court terme en les excluant ou en les bannissant d'un domaine afin de protéger ou d'établir un monopole. Cela peut ensuite être très difficile à réparer.
Le danger augmente lorsque les gens choisissent leurs logiciels pour les fonctionnalités techniques et à court terme, parce qu'ils n'ont pas compris que le logiciel a toujours une composante macro-économique culturelle, sociale et éthique. Celui qui n'a pas une telle compréhension globale retournera vers le logiciel propriétaire aussi vite qu'il ou elle a essayé le Logiciel Libre.
Dans le monde des Logiciels Libres, nous voyons que certains s'inscrivent plus dans la mentalité du Logiciel Libre et que d'autres se dirigent vers l'Open Source. Cela montre que même dans le monde classique des Logiciels Libres cette compréhension n'est pas encore totalement développée. Les choses semblent encore pires à l'extérieur de ce groupe.
Aussi longtemps que la compréhension de ces questions ne sera pas notoirement connue, les Logiciels Libres sont face à un problème : les logiciels propriétaires peuvent exploiter les Logiciels Libres non ou insuffisamment protégés presque totalement, tandis que le contraire est bien évidemment faux.
La protection non satisfaisante des Logiciels Libres crée un déséquilibre en faveur des logiciels propriétaires. Cela rend au moins plus difficile aux Logiciels Libres de gagner également un avantage technique et à court terme sur les logiciels propriétaires.
Comme indiqué précédemment, les Logiciels Libres sont un nouveau paradigme qui crée un nouveau marché avec de nouvelles règles et de nouveaux mécanismes. Tout marché a ses règles et il est important pour tous ses acteurs de soutenir et de protéger ces règles afin de protéger les individus et le marché comme un tout.
Toujours en construction, le marché des Logiciels Libres est dans une phase plutôt jeune. La majorité des participants n'en ont pas encore pleinement compris les règles et les mécanismes, même si la plupart les respectent.
D'après ce qui vient d'être dit, il n'est pas surprenant que la Licence Publique Générale de GNU soit devenue, avec sa forte protection de la liberté, la licence prédominante, sous laquelle plus de 50% de tous les Logiciels Libres sont publiés.
Cela semble être pour moi la conséquence naturelle du fonctionnement des mécanismes et aussi la preuve profonde que la GPL n'a pas envahi le marché, mais l'a plutôt créé. Cela signifie que le marché des Logiciels Libres s'est formé largement à cause et autour de la Licence Publique Générale de GNU.
Pour éviter les malentendus, je voudrais souligner que cela ne signifie pas que la GPL est la seule licence acceptable. D'autres licences comme la LGPL ou avec même moins de protection comme les licences de type BSD font aussi partie des Logiciels Libres et peuvent parfois être le choix le plus judicieux.
La question de savoir si une protection faible est le meilleur choix pour GNU Aspell a déclenché cet article. Dans la perspective de la FSF, les choses sont différentes que dans celle de l'auteur.
Grâce à Ispell, les Logiciels Libres ont déjà un vérificateur d'orthographe largement répandu qui a peut-être ses faiblesses, mais qui a pu combler le vide de nombreuses années avec une licence non protectrice.
Á partir de cela, GNU Aspell peut maintenant donner à tout Logiciel Libre traitant du texte un avantage technique significatif sur des produits similaires et propriétaires afin de faire pencher à court terme le rapport de force en faveur des Logiciels Libres.
Cela inciterait également à publier les projets basés sur GNU Aspell sous forme de Logiciels Libres.
Concernant les projets OpenOffice et Mozilla, les problèmes possibles où se trouve une raison majeure pour Kevin de préférer la LGPL, il faut remarquer qu'il semble n'y avoir aucun argument percutant à publier les versions commerciales comme logiciels propriétaires.
Tout particulièrement avec OpenOffice, les raisons majeures d'acheter son homologue propriétaire StarOffice semblent être le manuel d'utilisation apparemment très bon, le support et la responsabilité. Aucune d'entre elles ne dépendent du caractère propriétaire d'OpenOffice, elles ne changeraient pas s'il était publié comme Logiciel Libre.
Si certains pensent qu'ils sont vraiment obligés de créer une version propriétaire de l'un de ces projets, ils peuvent bien sûr le faire. Mais nous - la communauté du Logiciel Libre - devons nous demander pourquoi nous voudrions leur donner GNU Aspell pour produire de meilleurs logiciels propriétaires.
Assez pour ce sujet, j'espère que j'ai au moins réussi à éclairer sous différents angles ce sujet parfois très compliqué.
Si en savoir plus sur ces questions vous intéresse ou si vous voudriez les voir traitées sous un angle différent, je vous recommande de lire l'article de Richard Stallman sur la page web GNU [10].
Simo Sorc, le traducteur italien du Brave GNU World, recommande le projet "Gnutemberg ! Free Documentation Database" (GFDD) [11] venant d'Italie.
Étant une partie du projet "Gnutemberg !" [12], GFDD a pour but de créer et maintenir une base de données de Documentation Libre. Afin de garantir sa liberté, seuls les documents publiés sous une Licence de Documentation Libre approuvée par la FSF [13] sont ajoutés à la base de données.
L'implémentation technique est réalisée en PHP et PostgreSQL, et basée sur le "Dublin Core Metadata Element Set" et l' "Open Source Metadata Framework" [14]. Naturellement, l'ensemble du code est un Logiciel Libre publié sous la Licence Publique Générale de GNU.
Un utilisateur peut publier de la documentation ou la traduire, et il est possible à l'aide d'un moteur de recherche de chercher parmi les champs comme l'auteur, la date de publication, le titre, la langue, les traductions, le numéro ISBN, le nombre de pages, le prix ou d'autres notes.
Le projet est developpé par Gaetano Paolone, Marco Presi, Simone Merli, Marco Milanesi, Alceste Scalas et Donato Molino, mais ils cherchent toujours de l'aide pour les aspects techniques et le contenu.
Comme la documentation est un domaine incroyablement important et trop souvent négligé, j'espère qu'ils trouveront beaucoup de volontaires.
En voilà assez pour ce mois-ci ; à moins que d'autres catastrophes ne surviennent, le prochain numéro arrivera le mois prochain.
Bien sûr, je ne peux pas terminer ce numéro sans avoir demandé de nombreuses remarques, informations, idées, questions ou pistes sur des projets potentiellement intéressants par courrier [1].
Info
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[1] Idées, suggestions, commentaires à l'adresse du
Brave GNU World <column@brave-gnu-world.org>
[2] Page d'accueil du projet GNU http://www.gnu.org/home.fr.html [3] Page d'accueil du Brave GNU World de Georg http://brave-gnu-world.org/ [4] Initiative « GNU C'est Nous » http://www.gnu.org/brave-gnu-world/rungnu/rungnu.fr.html [5] Page d'accueil de Gnuzza (CryptChat) http://www.winpt.org/cryptchat/ [6] Page d'accueil de Libgcrypt http://www.gnupg.org/ [7] Page d'accueil de GNU Aspell http://aspell.net [8] Page d'accueil de International Ispell http://fmg-www.cs.ucla.edu/fmg-members/geoff/ispell.html [9] Listes de mots de GNU Aspell http://wordlist.sourceforge.net [10] Richard Stallman - "Why you shouldn't use the Library GPL for your next library" http://www.gnu.org/licenses/why-not-lgpl.html [11] GFDD - Page d'accueil de la Base de Documentation Libre http://www.gfdd.org [12] Page d'accueil de Gnutemberg! (italien) http://www.gnutemberg.org [13] Licences de Documentation Libre http://www.gnu.org/philosophy/license-list.html#FreeDocumentationLicenses [14] Initiative Dublin Core Metadata http://www.dublincore.org |
Envoyez vos questions sur GNU et la FSF à
gnu@gnu.org.
Il y a aussi d'autres façons de
contacter la FSF.
Envoyez vos commentaires sur "Brave GNU World" (anglais ou allemand) à
column@gnu.org,
et les commentaires sur cette page à
webmasters@www.gnu.org,
les autres questions à
gnu@gnu.org.
Copyright (C) 2002 Georg C. F. Greve
Traduction [FR] : Valéry Beaud
Permission vous est donnée de distribuer des copies exactes de cette page tant que cette note de permission et le copyright apparaissent clairement.
Dernière modification : $Date: 2003/03/14 10:37:32 $ $Author: r4f $